Depuis 2015, j’ai accompagné de nombreux clients, recevant plusieurs dizaines d’avis au fil des ans, principalement sur Google.

Suite à l’indisponibilité temporaire de ma fiche sur Google après le déménagement du cabinet dans le le département du Val-de-Marne (94), je souhaite rassurer mes clients, même s’il n’y a actuellement aucun autre moyen de rendre les témoignages recueillis sur Google accessibles — ce qui est regrettable et injuste pour ceux qui ont pris le temps de partager leur expérience — le cabinet est en droit de se défendre et leur rendre hommage, en présentant des statistiques globales sur les évaluations reçues.

L’avis d’un client, qui par définition ne se base que sur une expérience personnelle et subjective de « consommation », ne répond pas à l’objectif d’informer le public. En n’affichant que les commentaires positifs, l’avocat ne garantirait pas une présentation sincère et juste sur la nature des prestations de services qu’il propose. Cette position est conforme aux recommandations du Conseil National des Barreaux (CNB), qui souligne que la diffusion de commentaires élogieux peut constituer un manquement aux principes de déontologie, notamment en matière de délicatesse, de modération et de loyauté. Le CNB rappelle que « l’avocat est auxiliaire de justice, il n’est pas commerçant ».

Dans cette optique, je privilégie une communication transparente et respectueuse des règles déontologiques afin de préserver l’objectivité et la dignité de la profession.

Le cabinet peut cependant fournir des preuves sur des années d’expérience et des affaires résolues en citant notamment des sites qui indexent les décisions de justice, tout en garantissant l’anonymat et le respect des normes déontologiques, tels que Doctrine.fr :